Comité Technique Architectes CSTC

Grande première, ce Comité Technique Architecte s'est tenu en ligne au vu du contexte sanitaire COVID-19.

Après une présentation virtuelle et la mise en place des règles de déroulement de la réunion, Monsieur Yves MARTIN, en charge de la coordination des comités techniques a commencé par expliquer que le but du plan d’action GIVE ME FIVE est essentiellement d'améliorer la communication vers le secteur. Les suggestions faites par les comités techniques ont été présentées, ainsi que par les résultats des enquêtes réalisées par courriels.

Monsieur Yves MARTIN a ensuite expliqué les résultats aux questions qui concernaient la manière dont le CSTC pouvait aider le secteur pendant la crise : une partie des questions et suggestions sont des questions juridiques et une autre partie concerne des aspects techniques (distances sur chantier, planning, protection des chantiers…). Actuellement, il y a une série d’articles liés au COVID-19 sur le site du CSTC. Le prochain CSTC-CONTACT traitera de ces aspects.

Il a ensuite été expliqué qu’une quarantaine de formations étaient disponibles en ligne. Le secteur semble à ce jour bien accueillir ces formations en ligne. Il en est de même de courtes vidéos expliquant, par exemple, les évolutions à venir concernant les règlementations incendie en façade.

Il s'en est suivi une présentation des informations que le CSTC a mis en ligne, relatives au COVID-19. Le confrère Michel PROCES a également posé la question de savoir si les dispositifs constructifs ne devraient pas prendre en compte les enseignements de cette pandémie pour faire évoluer les réflexions, notamment en terme de circulation.

L'ingénieur Nicolas HEYMANS a ensuite présenté le projet CLIMATE CHANGE RESILIENCE. Ce projet se penche notamment sur les problèmes qui vont survenir ou se densifier consécutivement aux changements climatiques. Les questions des bases de données à prendre en compte pour les certificats et leurs évolutions sont déjà évoquées.

L'ingénieur Vinciane DIERYCK a présenté un système pour aider à spécifier un béton, dans un cahier des charges. Pour mémoire, la résistance à la compression d'un béton n'est pas un élément suffisant que pour qualifier un béton; d'autres éléments doivent intervenir : classe de résistance, classe d'environnement, type d'armatures, teneur en air...

L'ingénieur Eddy MATHIEU a ensuite présenté quelques cas de pathologie d'acrotères de toitures plates avec de toiture en polyuréthane.